Tous nos conseils pour construire une maison en Espagne

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Table des matières

Vous avez toujours rêvé de construire votre propre maison en Espagne, mais vous ne savez pas par où commencer ? Ce projet, qui peut sembler complexe à première vue, est pourtant une aventure passionnante à condition d’être bien informé et accompagné. Entre le choix du terrain, les démarches administratives et les particularités locales, il y a plusieurs étapes à maîtriser. Heureusement, avec un peu de préparation et les bons conseils, il est tout à fait possible de réussir la construction de la maison de vos rêves sous le soleil espagnol.

Dans cet article, nous allons vous guider pas à pas à travers les différentes étapes de la construction d’une maison en Espagne. Vous découvrirez également les spécificités du marché immobilier espagnol, les réglementations à respecter et les astuces pour éviter les pièges. Et comme vous êtes francophone, nous vous expliquerons pourquoi travailler avec un architecte parlant votre langue peut vraiment faire la différence.

Que vous soyez déjà installé en Espagne ou que vous envisagiez de franchir le pas, cet article vous donnera toutes les clés pour démarrer sereinement votre projet de construction.

Qu’en dites-vous, prêts à vous lancer ?

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I. Les étapes clés pour construire une maison en Espagne

Trouver le bon terrain

Le choix du terrain est la première grande étape dans la construction de votre maison en Espagne, et il ne doit pas être pris à la légère. Le pays offre une variété de paysages : de la côte méditerranéenne aux montagnes, en passant par la campagne tranquille ou les quartiers résidentiels urbains. Selon que vous cherchiez une vue sur la mer ou une ambiance rustique, votre choix influencera directement le reste du projet.

Pour commencer, il est essentiel de bien définir la localisation qui vous correspond. Aimez-vous l’effervescence des grandes villes comme Madrid ou Barcelone, ou préférez-vous la tranquillité des régions plus reculées comme l’Andalousie ou la Galice ? Le climat varie également énormément d’une région à l’autre, et cela peut jouer un rôle décisif dans votre choix. Un terrain près de la mer Méditerranée sera parfait pour ceux qui recherchent chaleur et soleil, tandis que le nord de l’Espagne est plus frais et verdoyant.

Une fois la localisation choisie, vous devrez vous renseigner sur les types de terrains disponibles. En Espagne, les terrains peuvent être classés comme «urbano» (urbanisé) ou «rústico» (rural). Les terrains urbanisés sont déjà équipés des infrastructures essentielles comme l’électricité, l’eau et l’accès à des routes, ce qui simplifie le processus de construction. En revanche, les terrains ruraux peuvent nécessiter davantage de démarches pour les rendre constructibles, ce qui peut entraîner des coûts supplémentaires et des délais.

Enfin, n’oubliez pas les aspects juridiques. Avant d’acheter, assurez-vous que le terrain est bien constructible et que toutes les conditions légales sont remplies. Vous devrez vérifier, par exemple, si le terrain n’est pas soumis à des restrictions environnementales ou à des servitudes. Un avocat spécialisé en droit immobilier en Espagne pourra vous accompagner dans cette vérification et s’assurer que tous les documents sont en règle.

Choisir votre architecte de confiance

Le choix de l’architecte est crucial, car il sera le maître d’œuvre de votre projet de construction. En Espagne, il est obligatoire de faire appel à lui pour toute nouvelle construction. Opter pour un professionnel qui parle français peut considérablement faciliter les échanges et garantir que vos attentes seront parfaitement comprises.

Un architecte aura l’avantage de connaître les réglementations espagnoles et les spécificités de la région où vous souhaitez construire. Il pourra aussi vous conseiller sur les matériaux à privilégier en fonction du climat, ainsi que sur les dernières normes en matière de construction, comme celles relatives à l’efficacité énergétique ou à l’isolation thermique. Chez Mon Architecto, nous réalisons la conception avec vous en français et collaborons en espagnol avec un architecte local sur le lieu de votre projet.

Mais l’architecte n’est qu’une partie de l’équation. Vous devrez également choisir des entrepreneurs pour la réalisation des travaux. Il est recommandé de sélectionner des entreprises ayant une bonne réputation et des références solides. Nous vous rassurons tout de suite, votre super archi aura les bons contacts !

À lire également : 10 bonnes raisons de faire appel à un architecte en Espagne

Obtenir les autorisations

Une fois le terrain en poche, l’étape suivante est d’obtenir les autorisations nécessaires à la construction. En Espagne, comme ailleurs, la bureaucratie peut être complexe, surtout si vous n’êtes pas familier avec le système local. Heureusement, encore une fois, votre architecte pourra vous guider tout au long de ce processus administratif.

La première démarche consiste à obtenir la licencia de obras (le permis de construire). Ce document est essentiel, car sans lui, toute construction est illégale. Pour l’obtenir, votre architecte devra soumettre un projet détaillé à la Mairie (Ayuntamiento) où se situe votre terrain.

Ce travail inclut des plans précis de la maison que vous souhaitez construire, des études techniques sur le sol, l’environnement et la viabilité du projet, ainsi que de nombreux autres documents. En fonction de la région, certaines zones peuvent imposer des restrictions plus strictes, notamment si vous construisez près de la mer ou dans une zone protégée.

Le traitement de la demande de permis peut varier d’une municipalité à l’autre. Dans les grandes villes, le délai peut être de plusieurs mois, tandis que dans les communes plus petites, cela peut aller plus vite. Pendant cette période, il est important de rester en contact avec votre architecte pour répondre à d’éventuelles demandes de clarification de la part de la mairie.

Il est également utile de prévoir une marge dans votre planning, car obtenir ce permis peut parfois prendre plus de temps que prévu, notamment en raison de vacances administratives ou d’autres imprévus. Tout n’est pas parfait en Espagne…

Le projet devra également être présenté au Colegio de Arquitectura (Ordre des architectes) afin d’obtenir leur validation. En général, ils sont plutôt réactifs !

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II. Le coût de construction en Espagne : Budget et financement

Estimer le coût de construction en Espagne

La première question à vous poser est : où souhaitez-vous construire ? Les prix peuvent varier de manière significative entre une grande ville comme Madrid ou Barcelone et des régions plus rurales comme l’Andalousie ou la Galice. Le coût du terrain est aussi un facteur déterminant. En effet, un terrain dans une zone touristique ou proche de la mer sera bien plus cher qu’un terrain à l’intérieur des terres. Il est donc crucial d’adapter votre budget en fonction de la localisation choisie.

Ensuite, demandez-vous de quoi avez-vous réellement besoin ? En parler avec votre architecte vous permettra de cibler correctement vos attentes. Et puis, en fonction de votre budget, il pourra vous proposer des solutions adaptées auxquelles vous n’auriez pas pensé.

En Espagne, le prix de construction d’une maison peut varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs, notamment la localisation, la taille et la qualité des matériaux utilisés. En moyenne, le coût de construction d’une maison se situe entre 1 200 et 2 000 euros par mètre carré. Cependant, dans des zones plus prisées comme la Costa del Sol ou les Baléares, ces chiffres peuvent être plus élevés.

Ensuite, il faut tenir compte des matériaux et des finitions. Voulez-vous une maison avec des matériaux de luxe ou préférez-vous quelque chose de plus simple ? Les finitions haut de gamme, comme le marbre, le bois massif ou les équipements de dernière génération, auront un impact significatif sur le budget global.

Un autre élément à ne pas négliger est la complexité du projet. Si votre maison est construite sur un terrain accidenté ou en pente, il faudra prévoir des travaux de terrassement supplémentaires qui peuvent faire grimper la facture. De même, une maison éco-responsable avec des normes énergétiques strictes (comme l’installation de panneaux solaires ou une isolation renforcée) peut nécessiter un investissement initial plus important, mais pourra vous faire économiser sur le long terme.

Prévoir les frais annexes et imprévus

Dans tout projet de construction, il y a toujours des frais cachés ou des imprévus auxquels il est important de se préparer. Au-delà des coûts de construction, plusieurs frais annexes viennent s’ajouter et peuvent gonfler le budget final.

Premièrement, il faut penser aux frais liés à l’acquisition du terrain. En Espagne, vous devrez payer un notaire pour formaliser l’achat, ce qui représente environ 1 % à 2 % du prix du terrain. À cela s’ajoutent les frais d’enregistrement au registre foncier et les taxes, comme “el Impuesto sobre Transmisiones Patrimoniales » (taxe sur les transferts de propriété), qui varient en fonction de la région et de la valeur du bien.

D’autres impôts sont à prendre en compte, comme el ICIO” (Impuesto sobre Construcciones, Instalaciones y Obras). Lors de votre demande de permis de construire, vous devrez acquitter un impôt autour de 4 % du prix de la construction, mais aussi une taxe pour traiter votre demande autour de 0,5 %, appelée la TAU” (Tasa actuaciones urbanísticas).

Ensuite, les frais de raccordement aux services publics (eau, électricité, gaz) sont souvent négligés. Le raccordement peut coûter plusieurs milliers d’euros, surtout si le terrain est isolé ou situé dans une zone où les infrastructures sont limitées. Il est donc primordial de vérifier ces aspects en amont pour éviter les mauvaises surprises.

Enfin, il est conseillé de prévoir une marge de sécurité dans votre budget pour les imprévus. Il n’est pas rare que des coûts supplémentaires surviennent en cours de chantier, que ce soit en raison de modifications du projet, de découvertes imprévues lors de l’excavation du terrain ou de l’augmentation des prix des matériaux. Une bonne pratique est de prévoir une réserve équivalente à environ 10 % du budget total pour faire face à ces aléas sans compromettre l’avancement du projet.

Vous êtes sûrement perdu avec tous ces coûts annexes, pas de panique, votre architecte vous expliquera tranquillement tout ça.

Trouver un financement adapté

Une fois le budget estimé, vient la question cruciale du financement. Si vous ne disposez pas des fonds nécessaires pour financer la totalité de la construction, il existe plusieurs options pour obtenir un prêt immobilier en Espagne. Heureusement, en tant que francophone, vous avez accès à plusieurs solutions, que ce soit via des banques dans votre pays ou en Espagne.

Les banques espagnoles proposent des prêts immobiliers aux non-résidents, mais les conditions peuvent varier. Généralement, elles vous accorderont un financement de 70 % du coût total du projet, vous laissant financer les 30 % restants avec vos propres fonds. Avant d’accorder un prêt, la banque effectuera une évaluation du terrain et de la maison projetée. Il est donc recommandé d’avoir déjà en main des devis précis et un projet bien défini avant de contacter une banque.

Les taux d’intérêt des prêts en Espagne sont actuellement attractifs, mais ils peuvent être variables ou fixes, selon vos préférences. Un taux variable sera indexé sur l’ »Euribor » (un taux de référence utilisé par les banques européennes), tandis qu’un taux fixe vous permet de stabiliser vos mensualités, mais peut être légèrement plus élevé. Il est conseillé de comparer les offres et, si besoin, de faire appel à un courtier pour obtenir les meilleures conditions.

Si vous préférez financer via votre banque, certaines institutions proposent des prêts immobiliers pour les projets à l’étranger. Les conditions seront souvent similaires, mais il faut bien vérifier les modalités d’application dans le cadre d’un achat en Espagne.

Outre le prêt immobilier, il est également possible d’envisager d’autres formes de financement, comme un prêt hypothécaire sur une autre propriété que vous possédez déjà. Cela peut parfois permettre d’obtenir des conditions plus avantageuses, notamment en termes de taux d’intérêt.

chantier construction

III. Le cadre légal et les réglementations pour construire en Espagne

Les réglementations urbanistiques locales

L’un des aspects les plus cruciaux à prendre en compte lorsque vous envisagez de construire en Espagne est la réglementation urbanistique, qui peut varier selon les régions et les municipalités. Le premier document à consulter est le « Plan General de Ordenación Urbana » (PGOU), c’est-à-dire le Plan Général d’Urbanisme. Ce plan détermine comment et où il est possible de construire, en prenant en compte des éléments comme les zones résidentielles, commerciales, agricoles ou protégées.

Dans certaines zones, notamment près du littoral ou dans des régions protégées, les restrictions peuvent être particulièrement strictes. Par exemple, sur la côte, la « Ley de Costas » (Loi sur les côtes) interdit toute construction à moins de 100 mètres du rivage, et même au-delà, les permis peuvent être difficiles à obtenir. Il est donc essentiel de vous assurer que le terrain que vous souhaitez acquérir est bien constructible et qu’il respecte les normes établies par le PGOU.

Enfin, il existe également des réglementations spécifiques aux constructions dans des zones protégées ou classées, comme les parcs naturels ou les sites patrimoniaux. Dans ces cas, les conditions de construction peuvent être beaucoup plus strictes, notamment en ce qui concerne l’impact environnemental, les matériaux utilisés et l’architecture.

À lire également : Qu’est-ce que le CTE ?

Les obligations légales des constructeurs et des propriétaires

Lorsque vous vous engagez dans un projet de construction en Espagne, plusieurs obligations légales s’appliquent tant pour vous, en tant que propriétaire, que pour les constructeurs et les professionnels que vous employez.

Tout d’abord, il est obligatoire de travailler avec un architecte, comme nous vous l’avons dit au début. Ensuite, il faut que le ou les constructeurs respectent les règles de la « Ley de Ordenación de la Edificación » (Loi d’ordonnancement des constructions), qui impose certaines garanties pour protéger les propriétaires. L’une des plus importantes est la garantie décennale, qui couvre tout défaut structurel de l’ouvrage pendant une période de dix ans. Pour être en conformité avec cette loi, l’entreprise de construction doit souscrire une assurance spécifique qui couvre ce type de défauts.

En tant que propriétaire, il est fortement recommandé de souscrire un « seguro de responsabilidad civil » (assurance responsabilité civile) durant toute la durée des travaux. Cette assurance vous couvre en cas d’accidents ou de dommages causés à des tiers sur votre chantier. Il est aussi essentiel de vérifier que tous les entrepreneurs et artisans qui travaillent sur le chantier sont correctement assurés et déclarés pour éviter tout problème juridique ultérieur.

De plus, il est recommandé de demander un certificat de fin de chantier à l’issue des travaux. Ce document est délivré par l’architecte et certifie que la maison a été construite conformément aux plans approuvés et aux normes en vigueur. Il est indispensable pour pouvoir occuper légalement la maison et pour procéder à son enregistrement au cadastre.

Assurer la conformité de votre maison

Une fois la construction terminée, plusieurs démarches administratives sont nécessaires pour vous assurer que votre maison est conforme aux exigences légales espagnoles. Ces démarches sont indispensables pour pouvoir emménager et pour que votre propriété soit reconnue légalement.

La première étape consiste à obtenir le « Certificado de Final de Obra » (certificat de fin de travaux), comme mentionné précédemment. Ce document, délivré par l’architecte, atteste que la maison est construite conformément aux plans et aux permis accordés. Il est souvent accompagné d’un rapport de contrôle technique réalisé par un organisme indépendant pour vérifier la conformité des installations électriques, de plomberie et de sécurité incendie.

Ensuite, vous devrez inscrire la maison au « Catastro » (cadastre), un registre public où sont répertoriés tous les biens immobiliers en Espagne. Cette inscription est indispensable pour que votre maison soit officiellement reconnue et pour que vous puissiez payer les taxes locales, comme l’« Impuesto sobre Bienes Inmuebles » (taxe foncière). Pour cela, vous devrez fournir une copie du permis de construire, du certificat de fin de travaux et de tous les documents techniques relatifs à la construction.

En plus de l’inscription au cadastre, il est obligatoire d’obtenir une « Licencia de Primera Ocupación » (licence de première occupation), délivrée par la mairie. Ce document atteste que la maison est habitable et conforme aux normes d’urbanisme en vigueur. Sans cette licence, il vous sera impossible de raccorder la maison aux services publics tels que l’électricité, l’eau et le gaz.

Enfin, si vous souhaitez vendre ou louer votre maison à l’avenir, il sera nécessaire de disposer d’un « Certificado Energético » (certificat énergétique). Ce document, qui évalue la performance énergétique de la maison, est obligatoire depuis 2013 et doit être présenté lors de toute transaction immobilière. Il classe la maison sur une échelle allant de A (très économe) à G (très énergivore) et permet de connaître l’impact environnemental du bâtiment.

Pour éviter toute complication, il est fortement recommandé de faire appel à un professionnel, habitué aux démarches administratives espagnoles, qui pourra vous accompagner tout au long de ce processus et vous aider à naviguer dans les différentes étapes légales.

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En bref

Construire une maison en Espagne est effectivement une aventure excitante, mais elle nécessite une bonne préparation. Entre le choix du terrain, les démarches administratives, le budget à prévoir, et les obligations légales, chaque étape joue un rôle essentiel pour le succès de votre projet. Il est crucial de bien s’informer et de respecter les différentes réglementations locales afin d’éviter les mauvaises surprises.

Avec une bonne planification et un accompagnement professionnel adapté, vous pouvez transformer ce rêve en réalité et réaliser la maison de vos rêves sous le soleil espagnol.

Si vous souhaitez vous lancer dans ce projet, il est recommandé de faire appel à des experts connaissant à la fois le cadre légal et les spécificités locales du secteur de la construction en Espagne. En tant qu’agence d’architecture spécialisée dans l’accompagnement des francophones, nous vous proposons de vous guider à chaque étape de votre projet, depuis la conception jusqu’à la réalisation.

Prêt à concrétiser votre rêve en Espagne ? Contactez-nous dès aujourd’hui pour discuter des détails de votre projet et comment nous pouvons vous aider à le réaliser avec succès.

Questions/Réponses

1. Combien de temps faut-il pour construire une maison en Espagne ?

Le délai de construction varie selon la complexité du projet et la région, mais en général, il faut compter entre 12 et 18 mois. Ce délai inclut l’obtention des permis, la phase de conception et la construction elle-même. Il est important de prendre en compte d’éventuels retards dus aux conditions climatiques ou à des imprévus techniques.

2. Faut-il être résident en Espagne pour construire une maison ?

Non, vous n’avez pas besoin d’être résident en Espagne pour construire une maison. Cependant, en tant que non-résident, certaines démarches administratives peuvent prendre un peu plus de temps. Il vous faudra notamment obtenir un numéro NIE (Numéro d’Identification des Étrangers), indispensable pour toute transaction immobilière.

3. Est-il possible de construire une maison éco-responsable en Espagne ?

Oui, il est tout à fait possible de construire une maison éco-responsable en Espagne. De nombreuses options existent, comme l’installation de panneaux solaires, la récupération des eaux de pluie, ou encore l’utilisation de matériaux durables. De plus, l’Espagne encourage de plus en plus les constructions respectueuses de l’environnement avec des subventions ou des incitations fiscales.

4. Peut-on construire une maison en Espagne en étant à distance ?

Oui, il est possible de gérer la construction de votre maison à distance. Pour cela, il est essentiel de s’entourer d’une équipe de professionnels de confiance, comme un architecte ou un gestionnaire de projet, qui supervisera le chantier pour vous. Aujourd’hui, de nombreux outils permettent aussi de suivre les avancées à distance, comme des rapports réguliers ou des visites virtuelles du chantier. Chez Mon Architecto nous avons préparé tout ce qu’il faut pour vous rassurer tout le long du processus.

5. Quelles sont les erreurs courantes à éviter lors de la construction d’une maison en Espagne ?

Les erreurs courantes incluent l’achat d’un terrain non constructible, la sous-estimation du budget et l’absence d’un suivi rigoureux des travaux. Pour éviter cela, il est important de bien se renseigner en amont, de respecter les réglementations locales et de s’assurer que les devis et contrats avec les entreprises soient clairs et détaillés.

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